mardi 01 déc.
17:00
Salle de cinéma

D’un pays à un autre, ce qu’écrire veut dire : des limites face à des tabous ?

Avec Sami Tchak, Idoumou, Abdoul Ali War, Beyrouk, Annie Ferret
Modérateur : Kissima Diagana

Cet événement est organisé par Traversées Mauritanides.

 

Sami Tchak, Togo

Sociologue et philosophe, Sami Tchak consacre l’essentiel de son temps à l’écriture. Parmi ses publications, aux éditions Gallimard/Continent noir Place des Fêtes (2001), Hermina (2003), La fête des masques (2004) et Les fables du moineau (2020), au Mercure de France Le paradis des Chiots (2006), Filles de Mexico (2008) et Al Capone le Malien (2011), La couleur de l’écrivain (La Cheminante, 2014) et chez JC Lattès, Ainsi parlait mon père (2018) et L’existence humaine est un joyeux bordel.

Annie Ferret, France

Annie Ferret est écrivain et modèle vivant. Ses textes s’intéressent à la mémoire, aux silences et à la transmission. Avec elle, on revisite aussi des sagesses sans frontières aux éditions L’Harmattan : Graines de chagrin et autres contes d’une Afrique rêvée (2013), La Sorcière dans la lune et autres contes d’une Afrique rêvée (2014), Les Pattes du chacal et autres contes d’une Afrique rêvée (2015), Sur la sellette (2015) et Des Villes et des hommes (éditions Proximité, 2017)

Idoumou, Mauritanie

Idoumou est professeur de littérature francophone à l’ENS et à l’Université de Nouakchott où il est coordinateur de la Filière Etudes françaises. Coauteur en 1992 du Guide de la littérature mauritanienne et en 2016 de l’Anthologie de la littérature mauritanienne francophone, il a publié deux romans : Igdi, les voies du temps (2015) et Le Fou d’Izziwane (2016).

Abdoul Ali War, Mauritanie

Dramaturge, romancier et poète, War a publié : Génial Général Président (Théâtre, 1996), Le Cri du muet (roman, 2000) et en poésie Demain l’Afrique (Ed. L’épi de seigle, 2003) et J’ai égaré mon nom précédé de Ode aux pères (Le Manteau & la Lyre, Obsidiane, 2020).

Beyrouk , Mauritanie

Journaliste, Beyrouk commence par les écrire des nouvelles. Et le ciel a oublié de pleuvoir, son premier roman (Dapper, 2006), sera suivi de Nouvelles du désert (Présence Africaine, 2009). Il publie désormais chez Elyzad : Le Griot de l’émir (2013), Le Tambour des Larmes (2015) et Je suis seul (2018). Beyrouk titille, à son aise, les travers sociaux.

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